A few trivia about Thunderbirds

Mercury Project Thunderbird relation, and a French paper about Thunderbirds. Most better things at the J. Lester Novros II's Supermarionation page or Thunderbird's Simon Wickes'; more about credits on the Internet Movie Database.
Visit the episode list, with French titles.


The Tracy family and the Mercury Project

Mercury Project MonumentThe Mercury teamDid you know that the names of the Tracy family are inspired by real astronauts? Not the first ones to visit space, as they where sovietic, but the Mercury Project team. You can see on this NASA picture the Mercury astronauts standing beside a Convair 106-B aircraft. They are, left to right, M. Scott Carpenter, L. Gordon Cooper Jr., John H. Glenn Jr., Virgil I. Grissom, Walter M. Schirra Jr., Alan B. Shepard Jr., and Donald K. Slayton.

"The Right Stuff" posterThis group of seven Americans where the first Astronauts (being acknowledged that soviets where not astronauts but cosmonauts), very famous in America as their only chance to get back to the Soviet Union after the launch of Spoutnik, the first satellite ever.
They have been dramatically depicted in the great and famous award-winner movie The Right Stuff (1983) by Philip Kaufman .


Thunderbirds, S.-F. et réalisme ?
par Baptiste Marcel, 6 mars 1995

The first version of this paper has been written in march 1995, to be published in a french fanzine called Sensationnel! which disappeared since. Later on, the paper has been refreshed and published in april 2000, in Génération Série issue #32. I do not intend to translate it in English.

La première version de cet article a été écrit en mars 1995, originellement pour un fanzine français appelé Sensationnel! qui a disparu depuis. L'article a ensuite été remis à jour et publié en avril 2000 dans Génération Série N°32. Il n'est pas prévu de traduction en anglais.

Thunderbirds5, 4, 3, 2, 1... Thunderbids are go.

Thunderbirds:
pilot Thunderbird 1 Scott Tracy,
space monitor John Tracy,
pilot Thunderbird 2 Virgil Tracy,
aquanaut Thunderbird 4 Gordon Tracy,
astronaut Thunderbird 3 Alan Tracy,
Engineer Brains,
London agent Lady Penelope.

Filmed in Videcolor... and Supermarionation.

Ceci est le texte du générique d'une très populaire série télévisée britannique de 1965. Diffusée en France parfois sous le titres Les Sentinelles de l'air ; le nom des comédiens n'apparaît pas dans ce générique, et pour cause : il n'y en a pas. Les personnages sont des marionnettes, et elles partagent la vedette avec leurs engins futuristes.

Cette création animée de Gerry Anderson, un des plus grands auteurs de la télévision d'outre-Manche, raconte l'histoire de la famille Tracy qui s'est vouée au service de l'Humanité. Leur organisme, International Rescue (Sécurité Internationale en V.F.), intervient partout dans le monde à chaque fois qu'une catastrophe y est imminente: avion en péril, une tour sur le point de s'effondrer, individus coincés sous des tonnes de gravats...

Jeff Tracy, le père, ancien astronaute (premier piéton lunaire) est à la tête d'International Rescue qu'il a monté et qu'il finance grâce à sa colossale fortune personnelle. Il est doublé en Français par Raymond Loyer, ce qui lui donne assez malheureusement la voix de John Wayne. Ses cinq fils (ceux du générique) sont les hommes d'action. Ils pilotent les engins qui les amènent près du drame et amènent le matériel nécessaire à l'intervention. John Tracy est en général en poste sur le Thunderbird 5, qui est une station orbitale surveillant sur les ondes les moindres messages de détresse, qui leurs sont envoyés ou qu'ils interceptent. Scott et Virgil interviennent sur le Thunderbird 1 et le Thunderbird 2. Le TB1Thunderbird 1 est un avion en forme de fusée. Il décolle comme la navette spatiale, mais vole horizontalement à 20 000 km/h (Mach 20). Pour comparaison, les longs couriers actuels volent à près de 1 000 km/h. Thunderbird 2 est un cargo qui vole à 5 000 km/h et qui ressemble au Super Guppy (le Super Guppy est un avion en forme de baleine qui transporte des pièces d'Airbus et que l'on voit régulièrement au dessus de Toulouse). Sa cargaison est un gigantesque container tout affrété. Lorsque le TB2T2 (immatriculé T2, TH2 ou 2 selon les scènes) part en intervention, on charge le container correspondant au profil de la mission : souterraine, sous-marine, en mer, dans le désert... Alan est le pilote attitré du Thunderbird 3. C'est une fusée spatiale pour des vols habités dont la forme et la couleur peuvent évoquer la fusée lunaire d'Hergé. C'est ce vaisseau qui est utilisé pour relever de temps en temps le fils Tracy de permanence sur le Thunderbird 5 (la station orbitale). Gordon intervient relativement moins souvent, pilote aquanaute du Thunderbird 4, petit sous-marin (jaune) à propulsion nucléaire. Il peut être ammené sur site, transporté dans les soutes du T2.

D'autres engins tout aussi impressionnants s'ajoutent à la collection de la famille Tracy comme le Mole (la Taupe en V.F.), engin long ayant une tête foreuse. Cet engin est spécialement conçu pour creuser le sol et se déplacer sous terre. On retiendra aussi le Firefly, volumineux véhicule conçu pour descendre au coeur des fournaises. Ces deux engins entrent aussi dans la soute du T2 pour être débarqués sur site. International Rescue dispose encore d'une multitude d'appareils tels des scooter magnétiques, des caméras volantes téléguidées, des descendeurs automatiques pour les fonds de puits, etc.

Ce sont ces engins qui sont les véritables héros de la série, et rares sont les épisodes où ils occupent une place de second plan par rapport même à la famille Tracy. Autour d'eux, il y a l'ingénieur Brains, petit stéréotype à lunette du scientifique besogneux, qui est sensé les avoir conçus et fabriqués (!). Il les connaît par coeur. Il sert de conseiller scientifique à chaque fois que se pose un problème de cet ordre. En quelques heures, il peut vous faire un décodeur de Cham Cham ou un émetteur miniature à goût fraise... Un réseau d'agents d'International Rescue couvre le monde, ils sont nombreux bien que l'on en voit relativement peu. Ces agents, dignes des meilleurs films d'espionnage, ont caché chez eux un vidéo-communicateur relié directement avec l'île Tracy. Lady Penelope, London Agent est beaucoup plus que ça, puisqu'elle se trouve parfois sur l'île d'International Rescue et qu'elle participe aux enquêtes, aux interventions, et aux décisions au sein de l'équipe. Lorsqu'elle n'est pas en opération, elle prend le thé. Comme la théière est équipée d'un récepteur radio, elle reste toujours joignable. Parker est son majordome, ancien cambrioleur perceur de coffre-fort dont le virus le démange encore. Sa voix originale est dotée d'un accent des bas-quartiers de Londres, ce qui le rend difficile à comprendre pour ceux qui ne s'essaient aux cassettes en V.O. Parker est teès dévoué à sa maîtresse, qu'il appelle Milady, l'aidant dans ses missions. Il pilote sa luxueuse Rolls Royce rose. Cette Royce est équipée de gadgets du genre 007 comme le fusil qui sort du phare avant et que Parker ajuste au centimètre près sur sa cible. On notera par contre qu'elle n'est pas tout terrain car elle s'embourbe dans The Imposters.

TB3D'autres personnages se trouvent sur l'île. Grand Ma, la mère de Jeff est une ménagère surhumaine. Elle doit avoir fort à faire avec ces têtes de bois que sont les garçons Tracy; toujours par monts et par vaux, sautant leur repas pour grimper à toute heure dans leur machine. Kyrano, d'origine asiatique, est l'employé de maison des Tracy. Sa fille Tin-Tin, rejoint la famille dans le premier épisode, puis prendra une place de plus en plus importante dans International Rescue (ainsi que dans le coeur d'Alan).

The Hood est le méchant de service. Non présent dans tous les épisodes, il cherche à détruire International Rescue comme les Dalton en veulent à Lucky Luke. Il est le demi-frère de Kyrano et lui extorque des secrets par télépathie, depuis l'Asie, et à son insu (ça surprend le premier coup, mais après, on s'y habitue).

Voici donc les intervenants, ils forment une équipe de Super Sapeurs Pompiers Intercontinentaux du Futur, et ils se seraient appelés les SSPIF dans une série satirique. Mais nous ne sommes pas dans une série satirique, nous sommes en pleine science-fiction. Mais attention, contrairement aux apparences, ce n'est pas du hard science, et en ce qui concerne le réalisme de la série, il y a de quoi sourire plusieurs fois.

Il est clair, à les regarder, que les engins que l'on voit évoluer dans le ciel de la série n'ont pas plus de raison de voler que votre fer à repasser domestique. Il faut réussir à se débarasser de cette arrière-pensée pregnante pour pénétrer la série. Mais à côté de ces formes et des autres détails d'S.-F. trop fantaisistes, il faut reconnaître que beaucoup d'idées sont bonnes. On peut voir de nos jours des avions à décollage vertical comme le T2 (le AV-8B Harrier par exemple); notre T.G.V. est tout à fait comparable au monorail de la série, et le Concorde, bijou technologique inégalé depuis, n'a rien à envier aux Flèches de Feu (que l'on voit entre autres dans Trapped in the sky). Le T5 a été imité par les laboratoires Skylab (américain) et Spacelab (européen), mais surtout par la station russe Mir qui assurait jusqu'à récement une présence humaine permanente dans l'espace. La navette américaine réalise courament des vols habités comme le T3, et Neil A. Armstrong a suivi, en 1969, les traces de Jeff Tracy dans la poussière lunaire. Le tunnel sous la manche est tout aussi moderne que tunnel subalpin de The Perils of Penelope. Les vidéo-téléphones de la série, on appelle ça aujourd'hui des webcams, les vidéos dans les montres, personne n'en a encore vu, mais tous les opérateurs de téléphonie mobile vous en parlent comme étant la prochaine génération. Bien des jeunes téléspectateurs d'aujourd'hui auraient du mal à comprendre que c'est à l'origine une série très orientée S.-F. à cause de la multitude d'éléments qui nous sont aujourd'hui familiers. Alors, science-fiction, anticipation... certes, mais certainement pas fantaisie. Cette créativité a été bien structurée.

Pourtant, il y a quelque chose de gênant. Cette technologie, on a l'impression qu'elle ne se trouve que chez les Tracy. Les autres personnages passent leur temps à s'étonner des compétences et surtout du matériel d'International Rescue. Bien sûr, on voit ici et là une fusée pour le soleil (Sun Probe) ou Mars (A Day of disaster), un satellite militaire d'observation (The Imposters) mais tout cela reste moins pléthorique que l'équipement d'International Rescue, et la plupart de ces appareils sont encore expérimentaux (c'est pour ça d'ailleurs qu'ils tombent en panne et qu'IR doit intervenir).

Il y a autre chose de gênant, c'est que tout cela a dû coûter une fortune: les appareils, la base, l'entretien... Comment ont ils pu réunir de manière honnête tous ces capitaux, et réussir à mettre cette organisation sur pied en secret? Là est le véritable côté irréaliste de la série: le plan économique; d'autant plus qu'on se demande parfois s'ils n'ont pas un peu perdu le sens de la mesure: d'une part la plupart des interventions sont faites pour sauver deux ou trois personnes, voire une seule (ils ne sont pas loin, comme Superman, d'aller chercher les chats dans les arbres), d'autre part, ils s'interdisent formellement les opérations pour la sauvegarde d'équipement si aucune vie n'est en danger (un tel comportement aurait certainement évolué avec la cause écologique, car on les imagine mal ne pas intervenir contre la marée noire de l'Erika.

TB4Il arrive que le scénario prenne la forme d'un vrai film catastrophe, et ce sont tous les passagers d'un avion de ligne qu'il faut sauver (Trapped in the sky), mais quand le sinistre est une tour en feu (City of fire), ce n'est que trois personnes enfermées dans la cave qu'il faut sauver ; quand ils sont confrontés à la destruction de tout un peuple, le peuple Kanamide dans The Uninvited Scott ne pense qu'à s'enfuir benoîtement avec les deux explorateurs en perdition qu'il était venu secourir (ce que remarque fort justement Francis Valéry dans son ouvrage consacré à la série).

Le film catastrophe n'était pas encore un genre en soi à l'époque de la série. Les plus fameux viendront plus tard avec Airport en 1970, The Towering Inferno (La Tour infernale d'Irwin Allen) et Earthquake (Tremblement de Terre) en 1974, Airport 1975 (747 en péril) l'année suivante, puis Meteor en 1979.

Dans la plupart des cas, la situation est l'inverse d'un scénario catastrophe : International Rescue intervient pour aller chercher deux enfants tombés au fond d'un puits de mine (Cry wolf), un astronaute perdu dans l'espace (The Imposters), deux journalistes sous un immeuble effondré (Terror in New-York), deux explorateurs imprudents (The Uninvited), deux astronautes coincés au fond d'une rivière (sic, dans A Day of disaster)... On pourraient trouver encore quantité d'exemples d'intervention quasi-privées.

Rien que le prix des heures de vol doit être astronomique, même si, nous dit-on, la propulsion est nucléaire. On ne parlera pas du prix de l'entretien, parce qu'on se demande si ces machines ont besoin d'entretien. Il ne semble y avoir aucun technicien sur l'île Tracy, alors qu'il a fallu 250 personnes rien que pour le tournage de la série.

Qui paye les interventions d'International Rescue ? Personne, rien que la fortune Tracy. Pas de collecte de fonds, pas de facturation des interventions auprès des assureurs ou des auteurs des catastrophes, pas de subventions de l'ONU (l'Europe ? Ils ne connaissent pas, on vous dit que c'est une série britannique, allons...), pas non plus de sponsors ni de retransmission T.V. Pire : on apprend dans Terror in New-York que les photographies des engins sont interdites (il y a même un détecteur qui signale lorsqu'on prend l'engin en photo!).

Évidement, ce genre de détail (l'invraisemblance économique) n'est pas à la portée des enfants pour qui cette série est destinée, de même que la démesure des moyens employés pour intervenir dans ce qui ressemble plus à des drames personnels qu'à de grandes catastrophes.

N'y a t'il donc pas de grande catastrophe humanitaire à l'époque où la série est sensée se passer (21e siècle selon un indice de Give or take a million) ? N'y a t'il pas de Bosnie, de Tchétchénie, de Timor, de Ruanda, de tremblement de terre en Turquie, Kôbe ou Puebla, d'usine chimique à Bhopâl, de stade Furiani ou Hesel, de coulée de boue au Vénézuéla ? L'actualité de l'an 2000 donne son lot de scénarii pour films catastrophes d'envergure de nature à justifier l'existence d'International Rescue ; mais là encore... c'est quelque chose qui est au delà de la perception des enfants. Au contraire, ne mettre en péril que quelques individus, c'est un drame beaucoup plus personnel et beaucoup plus proche puisqu'on a l'occasion de faire connaissance avec les (futures) victimes, les auteurs nous en laissant l'opportunité. Le public est alors beaucoup plus sensible puisqu'il peut s'identifier aux personnages en détresse. Les scénarii en sont alors d'autant plus intéressants; ce serait d'un ennui colossal si nous nous trouvions devant une série catastrophe reprenant systématiquement les ficelles du film de genre.

Ce n'est pourtant pas ça qui aide à dire que les scénarii de Thunderbirds sont très originaux, car il y en a beaucoup de semblables entre eux. On pourrait même faire un portrait robot de l'épisode type. 1e : accident mettant en cause quelques personnes et des machines, en général de leur propre faute ou de celle de leurs collègues. 2e : intervention des secours locaux avec des moyens conventionnels, et échec. 3e : intervention d'International Rescue, souvent à deux reprises. Dans la plupart des cas, la menace a l'obligeance de fournir l'unité de temps au scénariste car il faut agir dans un délai de quelques heures correspondant, par exemple, au temps d'oxygène contenu dans une capsule, au niveau d'eau qui monte dans une grotte, à un plafond de mine qui s'effondre... dans tous les cas à un danger mortel qui se rapproche.

Il n'y a jamais d'intervention tranquille pour laquelle ils pourraient prendre leur temps. S'ils avaient su, ils auraient fait des ascenseurs plus rapide sur l'île Tracy, et s'ils étaient malin, ils patienteraient en uniforme au lieu d'avoir à se changer au moment du départ. Quelle idée aussi d'aller s'installer dans le Pacifique, quasiment aux antipodes de l'Europe. Difficile d'imaginer plus loin!

À coté de ces interventions sur les chapeaux de roue, on trouve d'autres histoires plus proche de l'espionnage et du policier (The Cham Cham, The Imposters, The Man from M.I.5) où le sauvetage n'occupe qu'une petite partie de l'épisode et a un rôle secondaire dans l'intrigue. Il y a aussi les épisodes mal ou très mal ficelés, faits de bric et de broc. Pour ces derniers, leur mauvaise qualité s'explique ; les premiers épisodes ont été écrits et montés pour 30 minutes avant qu'ITC, la maison de production, ne décide, admiratif, de les étendre à 50 minutes par fusion et/ou dilatation. Certains épisodes ont mal supporté la chirurgie (The Perils of Penelope par exemple). TB5

Que reste t'il après cette analyse plutôt sévère sur la vraisemblance et l'originalité des histoires. Il faut encore rappeler que c'est une série pour enfants, et accepter les licences prises par les auteurs. Une fois passé le mauvais esprit, on arrive largement et rapidement à se prendre au jeu, à suivre avec intérêt les aventures de ces petites marionnettes ; d'autant mieux qu'au fil des épisodes, on les connaît de mieux en mieux et leur caractère s'épaissit. Ceci est valable aussi bien pour ceux qui découvrent la série aujourd'hui que pour les nostalgiques qui regardent les rediffusions en pensant à l'émerveillement de leur jeunesse. Car tous les ingrédients sont encore là pour éblouir les enfants : vaisseaux spatiaux, aventures, surenchères de gadgets, action, héroïsme, humanitaire, le tout emballé dans des images magnifiques de décors chatoyants et une recherche de non-violence globalement réussie. Pourtant, il semblerait que la série, diffusée vers 1994-1995 sur M6 n'ait pas remplie ses obligations de part de marché puisqu'elle a glissé du samedi après-midi au mercredi matin puis a disparu après la diffusion d'une vingtaine d'épisodes sur les 32 existants. Ceci tendrait à prouver que, d'une part, les gens d'M6 ne sont pas sérieux (puisqu'ils suppriment avant sa fin et discrètement une série qu'ils avaient annoncée en grandes pompes) et que, d'autre part, le public a boudé la série. Certainement que l'irrégularité de la diffusion du samedi a contribué au dédain du public : horaires non respectés, épisodes annulés, fragmentés en deux parties sur deux semaines, tronçonés de publicités et d'interventions débilitantes d'un animateur assez peu branché séries (Laurent Weil). Pour les fans, il reste la vidéo où la sériea fait l'objet en mars 1995 d'une réédition.


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